• Pour que tout le monde comprenne, je vais aller au plus simple. Explication de ce qu’est l’économie et pourquoi la situation économique est telle qu’elle est aujourd'hui. Mise en situation avec un exemple :

    3 personnes (un boucher, un épicier, un boulanger) qui vont participer au développement économique. Le boulanger a un billet de 20.00€ et va s’acheter 800g de bœuf avec les 20.00€.

    Le boucher encaisse les 20.00€ qui sont répartis de la façon suivante : 11.00€ servent à acheter la matière première (la viande de l’abattoir) et une partie des frais du magasin. Les 8.00€ restants contribuent à l’économie de la façon simplifiée suivante :

    ·         4€ pour la TVA => création de richesses pour l’état

    ·         5€ sont pour le boucher qui va s’en servir pour acheter des fruits et 1L d’eau à l’épicier.

    L’épicier encaisse les 5.00€ qui sont répartis de la façon suivante : 2.50€ servent à acheter la matière première (fournisseur d’alimentation) et une partie des frais du magasin. Les 2.50€ restants contribuent à l’économie de la façon simplifiée suivante :

    ·         1€ pour la TVA => création de richesses pour l’état

    ·         1.50€ sont pour l’épicier qui va s’en servir pour acheter un pain de 600g au boulanger.

    Le boulanger encaisse les 1.50€ qui sont répartis de la façon suivante : 0.70€ servent à acheter la matière première (farine, levures, eau, …) et une partie des frais du magasin. Les 0.80€ restants contribuent à l’économie de la façon simplifiée suivante :

    ·         0.30€ pour la TVA => création de richesses pour l’état

    ·         0.50€ sont pour l’épicier qui s’en servira pour ses achats…

    Sur cet exemple simple, 1 billet de 20.00€ a créé 5.30€ de richesse (TVA) et 7.00€ de gains pour les commerçants. La viande + les fruits + l’eau + le pain avaient une valeur d’origine de 14.20€. Hors en utilisant 1 billet de 20.00€, on a créé 5.30€ + 7.00€ = 12.30€ de richesses. Le coût matières premières + la création de richesse = 26.50€ => la valeur du billet de 20.00€ est passée à 26.50€.

    Mais si nous voulons aller plus loin, nous pouvons y ajouter le fait que le professionnel de l’abattoir a aussi un bénéfice et donc sur les 11.00€, il y a entre 2.00€ et 5.00€ pour lui. De même pour le producteur de fruits, celui de l’eau, celui de la farine, celui de la levure, … Si on étudiait la question dans le détail, on pourrait s’apercevoir qu’au bout de trois dépenses du même billet, on a plus que doublé sa valeur => c’est une situation d’économie en pleine santé. L’objectif est d’expliquer le plus simplement possible donc je ne vais pas plus loin dans le détail. Cependant, il est facile de voir que plus l’argent circule, plus il y a création de richesses.

    Maintenant, lorsqu’on visualise la réalité, on se dit que l’exemple précédent reflète plutôt une période ancienne, avant 1950. Depuis quelques dizaines d’années, le pain n’est pas uniquement acheté chez le boulanger, tout comme la viande chez le boucher, … mais beaucoup de ces produits sont achetés dans des magasins qui vendent l’ensemble. Donc le nombre d’échanges a diminué mais ça ne justifie pas toutes les difficultés économiques. Si les consommateurs décident de ne pas dépenser mais plutôt d’épargner tout alors l’argent qui dort ne créé plus de richesses. Mais c’est une question d’équilibre car l’argent épargné sert aussi à créer des entreprises qui elles-mêmes peuvent créer des richesses. Cependant, des entreprises sans clients, sans consommateurs ne peuvent pas créer de richesses.

    L’économie est donc le résultat du comportement de chacun. Plus il y aura d’entreprises qui redistribuent des richesses, plus il y aura une consommation possible plus forte. En France, je pense que les valeurs du travail ont besoin de revenir dans les esprits et les principes des gens. Dans les médias on entend uniquement parler «  de la crise économique ». Les personnes qui savent s’adapter et qui n’attendent ni les autres ni le gouvernement pour se bouger et rebondir parlent eux d’opportunité et non de crise. On vie dans une époque où il y a une redistribution des cartes et des richesses. L’économie basée sur les gains du secteur industriel et de l’activité majoritaire du salariat a vue ses limites et voit sa fin pour laisser place aux micro-entreprises et aux travailleurs indépendants. Tant que la majorité des citoyens n’auront pas accepté les faits et remonté leurs manches pour s’adapter à un nouveau modèle économique et à des façons nouvelles de travailler, le sentiment de crise perdurera…


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  • Il existe des moyens de quitter la misère, d’exercer des activités professionnelles diverses & variées : mais encore faut-il le vouloir et décider de faire ce qu’il faut pour y arriver ! Quand on pense argent ou haute rémunération, chacun pense à « TRAVAIL » = « SALAIRE ». L’époque de la facilité et de la « non responsabilité » sur les résultats de la majorité des actifs est révolue. Cette situation a provoquée la crise d’aujourd’hui.

    Autrefois, tout le monde travaillait à son compte (le boulanger, l’agriculteur, le commerçant, le banquier, …). Aujourd’hui, on ne dit pas banquier, on dit « employé de banque ». La crise nous le montre : l’entreprenariat est au goût du jour et va reprendre sa place.

    Alors comment ? Il est possible de trouver des solutions, encore faut-il les chercher et surtout profiter des opportunités qui s’offrent à nous ! Il existe au moins un moyen qui est un vrai ascenseur social, qui permet à tout le monde de gravir les marches du succès, ce avec ou sans argent. Encore faut-il s’en donner les moyens et s’investir dans des activités sérieuses et sortir de sa zone de confort. Plutôt que de « pantoufler » sur le canapé devant la télévision comme le font la majorité des français…

    Combien croisons-nous de gens qui veulent +++ ? Mais qui ne font rien pour avoir +++, peut-être parce qu’ils ne se sentent pas capable de faire des petites choses qui font la différence ?

    Je le réécris, pour avoir ce que les autres n’ont pas, il faut faire ce que les autres ne font pas. Alors « faites comme d’habitude et vous aurez les mêmes choses et résultats que d’habitude ! »


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  • En effet, sur ce site, on parle de pleine activité. Mais qu'est-ce que c'est ? Quelle différence ?

    Il s'agit d'une orientation économique, qui serait basée plutôt sur des actifs (personnes qui ont une activité professionnelle) indépendants (ou à leur compte) plutôt que salariés, "embauchés" (travaillant pour quelqu'un d'autre, un patron par exemple, des actionnaires pour les grandes entreprises, ...).

    Il s'agit de créer de la richesse, de faire évoluer l'économie d'un pays, y participer activement et non être un simple spectateur qui fait juste ce qu'on lui dit de faire. Il faut que chacun fasse, dans le but d'une amélioration constante de soi-même, de son entourage et de l'activité économique.

    Des critiques existent, mais c'est l'issu par laquelle chaque personne qui voudra réussir devra passer... Une particularité française, c'est que chaque français passe son temps à critiquer les différences, les nouveautés, ... Il est nostalgique et ne souhaite pas que quelqu'un ou quelque chose vienne brusquer "sa petite vie tranquille". On dit que "l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt", et c'est sûrement vrai ; moi, je pense que l'avenir et la réussite appartiennent à ceux qui sont ouvert d'esprit, qui sauront s'adapter et qui sont dans un dynamisme d'évolution personnelle.

    Voici quelques liens que j'ai trouvé sur la pleine activité :

    http://www.alternatives-economiques.fr/plein-emploi-ou-pleine-activite_fr_art_79_7704.html

    http://www.alternatives-economiques.fr/la-pleine-activite--fille-indigne-du-plein-emploi_fr_art_89_8787.html

    http://www.monde-diplomatique.fr/1992/08/CASSEN/44630


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  • Voici un article que vous pouvez retrouver sur le site de capital.fr...
     
    Pour Jean-Pierre Gaudard, auteur de «La fin du salariat» publié en janvier 2013 aux éditions François Bourin, le développement de la précarité n'est pas dû qu'à la crise économique mais à un changement profond de notre modèle social.

    Capital.fr : Vous annoncez la fin du salariat, alors qu'il n'y a jamais eu autant de salariés en France, avec plus de 18 millions de personnes sous ce statut dans le secteur privé. N'est-ce pas paradoxal ?
    Jean-Pierre Gaudard : Au cours des dernières décennies, ..." cliquez ici pour lire la suite...


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  • Imaginez que votre patron vous propose de travailler 2 heures de plus par jour sans augmentation de salaire pendant 1 an, mais qu'à partir de la 2ème année, vous ne travaillerez plus que les 2 heures par jour avec votre salaire en double jusqu'à la fin de votre vie ! Que feriez-vous ?

    On pourrait dire : ça ne peut pas arriver. Mais imaginez que ce soit possible, le feriez-vous ?

    Si je vous donne l'exemple, c'est qu'il existe des possibilités qui y ressemblent mais c'est tellement incroyable qu'on a du mal à y croire ! Maintenant à vous de contacter les bonnes personnes pour avoir les meilleures informations...


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